2 février 2016

Le parc national d'Abel Tasman - île du sud



Jours 156 & 157
Samedi 14 et Dimanche 15 février

Réveil à 6h, pour attraper un taxi à 6h40 afin de nous rendre sur le port prendre le ferry qui nous amènera à Picton, sur l'île sud. C'est bien parce qu'il est super tôt, que le ferry est tôt et qu'on a encore des courbatures du Tongariro Crossing qu'on n'y va pas à pied, sinon c'est relativement proche. 


Et maintenant, un court intermède de lose.
Le ferry a 3h de retard. 
Voilà.

Après presque 4h de traversée sous la pluie et le vent, s'être foutues de la gueule d'Aleksander qui a le mal de mer, on arrive à Picton sur les coups de 15h. On attend un long moment que Karlyn arrive avec le nouveau bus, on monte et on roule, on roule, on roule eeeet on roule, pour arriver à l'auberge sur les coups de 21h (aka on a loupé le coucher de soleil), non sans avoir refait le plein de bières avant.
Et donc voilà. Aujourd'hui, on n'a globalement rien fait d'autre que se déplacer. Heureusement,  c'était jour de pluie, et en plus de ça l'auberge est GÉNIALE, du genre on en a pas eu d'aussi cool depuis le début du voyage (bon, celle de Coromandel, était géniale aussi). Pas de lit superposé, juste des lits simples avec des matelas épais comme ça, DES COUETTES ET DES OREILLERS EN PLUME. Tellement le luxe.




Le lendemain, c'est sous un grand et chaud soleil qu'on se rend à la plage, où l'on retrouve Aleksander. On bronze, je me promène pour prendre des photos et admirer le paysage, le Boudin joue du ukulele, puis on rentre via une partie de l'une des neuf Great Walks néo-zélandaise, un trek de 50km qui prend 5 jours et que je regrette de ne pas pouvoir faire (mais mémé, elle a jamais tenté ce genre de trek, elle serait foutue de tomber dans un ravin qui se serait ouvert spécialement pour elle, alors elle préfère éviter, tu vois.)


On partage la soirée avec les quatre autres filles de notre chambre ainsi qu'avec les cool kids, alias le groupe de britanniques avec lesquels on est sorties à Wellington, plus Vivienne la Brésilienne (ça rime- et Aleksander toujours. Autour de bières, de dessins (parce que ça me manque), mais aussi de musique quand le Boudin sort son ukulele flambant neuf. Qu'elle se fait aussitôt squatter par les chanteurs en herbe, ravis de disposer d'une personne ayant l'oreille absolue qui peut leur jouer tout ce qu'ils souhaitent. Ça chante très faux, c'est très affreux mais qu'est-ce qu'on se marre (et c'est même pas de l'ironie).








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