24 janvier 2016

Rotorua et la Redwood Forest



Jour 149
Dimanche 8 février

OW PUTAIN LA GRASSE MAT DE OUF, ON A DORMI JUSQU'À 10H MA COUILLE.


Parce qu'aujourd'hui, on a un programme léger : se rendre dans la forêt de séquoia à quelques kilomètres de Rotorua. La même qu'à San Francisco, oui, mais sans chimpanzés en colère, et avec des traces de flore locale malgré tout (#fougères). Si tu te demandes ce que cette forêt fout là, c'est pas parce que les arbres ont migré depuis l'Amérique, mais parce que les colons britanniques, en arrivant, ont eu envie de savoir quelles espèces d'arbres pouvaient survivre dans ce pays hostile (un pays sans wifi, ça devrait donner toutes les réponses du monde). 


La réponse : oui, les séquoias survivent, comme un tas d'autres merdes qui détruisent aujourd'hui la faune et la flore endémiques, qui sont, pour la petite histoire, ce qui s'approche le plus de la faune et la flore pré-historiques. 

Parce queeee *point culture* la Nouvelle-Zélande est le tout premier morceau de terre à s'être détaché de la Pangée. La plaque Indo-Australienne s'est détachée, puis immédiatement, la Nouvelle-Zélande a pris son indépendance, avant même l'Australie. C'est la raison pour laquelle les forêts néo-zélandaises ressemblent à une jungle aussi dense, qu'on appelle le bush, alors qu'on n'est pas vraiment dans les tropiques : parce que la forêt, elle a pratiquement pas bougé depuis la nuit des temps. Depuis les dinosaures, et même avant. DUDE. Et ça, les colons et leurs espèces importées ont commencé à le bousiller.

Aujourd'hui, la Nouvelle-Zélande est entrée en phase de sauvetage de son patrimoine. On croise les doigts, hein.




Le soir, retour sur Eat Street où on se fait PÉTER LE BIDE il était temps. Omnom garlic bread, omnomnom pâtes au poulet et champignon et "yummy sauce", omnomnomnomnom fish&chips et chardonnay.










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